Thérèse Lamartine a d'abord publié Elles, cinéastes… ad lib (1985), une anthologie des femmes réalisatrices de tous les pays du monde, de la naissance du cinéma en 1895 à 1985. Ont suivi le roman Soudoyer Dieu (2009), l'essai Le féminin au cinéma (2010), le roman Le silence des femmes (2014). Deux pièces de théâtre, Autodestruction et une adaptation du roman de Nancy Huston, Dolce Agonia, ont été jouées sur des scènes montréalaises, en 2009 et en 2013. Vient tout juste de paraître chez M Éditeur Une planète en mal d’œstrogène (2020), véritable autopsie des relations femmes/hommes du XXIe siècle, qui réinvente des convergences possibles entre les femmes et les hommes de bonne volonté. En 2009, Masculin singulier a reçu le Prix du concours de nouvelles des Écrivains francophones d'Amérique. Thérèse Lamartine publie dans divers ouvrages collectifs et collabore à la revue littéraire Nuit blanche depuis 2014. Elle a plusieurs projets en chantier, dont un dictionnaire universel des réalisatrices de cinéma et un recueil de nouvelles. Son essai sur le mouvement #MoiAussi, intitulé Justice sera-t-elle rendue? Weinstein, Matzneff, Rozon et les autres, devrait paraître au printemps 2021.
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